segunda-feira, 22 de outubro de 2012

alphaville


Pourtant, j’ai vu les plus beaux yeux du monde,
Dieux d’argent qui tenaient des saphirs dans leurs mains,
De véritables dieux, des oiseaux dans la terre
Et dans l’eau, je les ai vus.


Paul Eluard, Capitale de la Douleur

de Godard, hoje e sempre, na fabulosa Cinemateca Portuguesa - Museu do Cinema

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